« Ainsi la lumière s’éteint / l’âme chancelle / sous les terribles coups / j’erre à travers ma vie / triste et égaré / visions / sur des lacs d’émeraude / gigantesques bastions / de rochers surplombants / […] Gouffre / sombre et menaçant / où le cri se précipite et se / perd en rebondissant / sombre et terrible / dans la profondeur inconnue / rugit sinistre de terreur / … Dans le gouffre spectral et immobile / deux aigles / Un cri et sinistre / qui rend le silence plus profond / plus glacial encore que la terreur. »
Mario Sironi
Maledizione (~ 1930)
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