Sur des amitiés mortes, / sans cesse, je gémis ; / je m’effrite et je prieaux vibrations en cohorte.
Suis-je dans l’air du temps, / ce drôle de quadrille / qui ne tient qu’à un fil / ou sur scène, intermittent ?
A l’histoire d’amour déçu, / dans un bocal épuré, / l’évasif s’est vu transféré, / Votre affliction en reçu.
xavier maitre
Eloge de la lenteur
« J’aime ce regard rêveur de la personne aimée / Devant le bol de thé ou de café, / Les deux mains bien appliquées / Sur ses flancs de terre cuite. / Rêvasser, être pleinement là, / Présent à ce moment délicieux
Et serein. / Réapprendre à ne rien faire, / Se réserver des moments de rien. / Désintoxiqués de la trépidation / Et de l’agitation vaine. »
Jacques Prévert
Eloge de la lenteur
« J’aime ce regard rêveur de la personne aimée / Devant le bol de thé ou de café, / Les deux mains bien appliquées / Sur ses flancs de terre cuite. / Rêvasser, être pleinement là, / Présent à ce moment délicieux
Et serein. / Réapprendre à ne rien faire, / Se réserver des moments de rien. / Désintoxiqués de la trépidation / Et de l’agitation vaine. »
Jacques Prévert
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