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Votre œuvre est à l’image / de fresques aux pigments / des récifs de l’entourage, / un indigeste document.
Sans risques calculés, / je mesure votre foulée. / Je vous plante le nezpar des voix feutrées.
Abasourdi par cette flore, / mon regard est fébrile. / Votre galaxie m’honore / sur un mystère fragile.
Aux abois de nymphettes, / votre image en archive, / la symbiose est parfaite / sur un nuage en dérive.
Avec votre essor décadent, / laid dehors comme dedans, / je me mords à pleines dents. / Pour vous et sans précédent.
Xavier maitre
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